À cette époque, les arbres, tels que nous les connaissons aujourd'hui, n'existaient pas, pas plus que les plantes à fleurs. Dans ce climat équatorial chaud et humide, on trouvait essentiellement des fougères de toutes tailles et surtout des fougères arborescentes, ainsi que des prêles géantes.
Ci-contre, la flore houillère du bassin stéphanois d'après les découvertes de François Cyrille Grand'Eury (1839-1917), paléobotaniste, professeur à l'École des mines de Saint-Étienne.
